Amiens. Rue de Mercey. Diagnostic J.-F Vacossin sur 400 m² (2022)

La zone concernée par ce diagnostic se trouve dans le quartier Saint-Acheul, à proximité immédiate de la carrière Tellier. Un sondage a permis la découverte, entre 2,80 et 3 mètres de profondeur, de quatre artefacts paléolithiques remaniés dans les sédiments fluviatiles attribués à la nappe de La Garenne. Ils témoignent d'une fréquentation de ce secteur vers - 450/400 000 ans par Homo heidelbergensis. Source : rapport de diagnostic.



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Amiens. Boulevard de Guyencourt. Diagnostic J.-F. Vacossin sur 3734 m² (2022)

 

Aucune trace de vestiges lié à la période antique n’a pu être détecté sur l’emprise, ceci s’explique par la présence des fortifications et de son fossé qui ont probablement détruit tous les vestiges antérieurs à sa mise en place entre le XVe et le XVIIIe siècle Des restes osseux de 2 individus ont été découverts à moins de 3.20 m de profondeur, dans une couche de remblais non datés. La seule structure mise au jour est un mur délimitant des parcelles, signalé sur le plan napoléonien de 1832. Il est maçonné avec des briques et sa fondation est formée de blocs de craie. Source : rapport de diagnostic.

 



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Le Bosquel. Diagnostic N. Descheyer sur 26 ha (2022).

 

 

Ce diagnostic complète les observations archéologiques réalisées au cours des deux opérations réalisées par L. Duvette en 2011 et 2014.

 

Trois fosses charbonneuses, réparties dans un rayon de 25 à 30 m, ont livré, pour l'une d'elle, des esquilles osseuses (faune ? humain?) dont l'une a pu être datée par C14 du Néolithique Moyen II.

 


 

 

 

 

Une occupation de l’âge du Bronze est attestée par un silo qui a notamment livré une moitié de peson et un fragment de meule en grès. Il pourrait éventuellement être associé à un puits.

 


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Ferme éolienne du Bois de la Hayette. Diagnostic E. Bisson (2022)

 

 

 

 

 

 

 

A Aubvillers (Éolienne 1) de nombreux impacts d’explosifs et une tranchée de la Première Guerre mondiale ont été relevés.

 


 

 

 

A Braches (Éolienne 2), une occupation romaine (Ier-IIIe s.) est matérialisée par l'angle d'un enclos fossoyé, une fosse et une structure de combustion associée à une charbonnière et des micro déchets magnétiques (plus particulièrement de battitures) témoignant d’une activité de forge.

 


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FRAMICOURT. Diagnostic D. Kiefer sur 26995 m² (2022).

 

 

 

A l'emplacement de divers vestiges, signalés au XIXe siècle, une grande villa de plan rectangulaire orientée au nord avait été détectée par Roger Agache. Le diagnostic a mis en évidence un réseau de fossés, formant des enclos ou un parcellaire quadrangulaire sur une superficie d’environ 2500 m², qui pourrait appartenir à un établissement laténien.

 


 

 

 

 

 

A l’ouest, les fondations en craie tassée de deux bâtiments de la pars rustica ont été mis au jour (300 et 161 m²). La céramique est datable des IIe-IIIe siècles. Des trous de poteau dans les assises des bâtiments et plots suggèrent qu'ils ont laissé place (au IVe siècle?) à des constructions plus légères en bois et torchis.

 


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La Chaussée-Tirancourt. Diagnostic D. Kiefer sur 4,5 ha (2022).

 

 

 

Une tranchée sinueuse de La Seconde Guerre Mondiale, large de 1, 5 mètre et profonde de 0,44 m, témoigne des aménagements destinés à protéger la base de lancement de V1 située dans le « Bois de Sapins », le lieu-dit jouxtant l’emprise. Source : rapport de diagnostic.

 



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Albert. Diagnostic L. Blondiau sur 32 ha (2022)

 

 

 

Trois structures ont livré six artefacts en silex (nucleus, éclats) et dix-neuf fragments de céramique dont l’attribution chronologique remonte au Néolithique final. Source : rapport de diagnostic.

 



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