Revue de presse : 29-30 octobre 2020

 

France

 

Des ateliers de tuiliers gallo-romains à Meximieux (Ain). À Meximieux, l'Inrap a mis au jour les vestiges de trois fours de tuiliers en bon état de conservation. L’occupation antique constitue une découverte importante avec la mise au jour d’un enclos fossoyé trapézoïdal dont l’origine pourrait remonter à la période laténienne.

 

 

Arcenant : Le site archéologique de l'Ecartelot à la croisée des chemins antiques. En 1986 un chantier de fouilles a été ouvert par l'Association culturelle et archéologique des Hautes Côtes de Nuits, à proximité d'Arcenant. Des amoncellement de pierres, ont été déblayés, découvrant un site occupé du 1er au 3e siècle : une exploitation agricole, un temple : des vestiges longtemps oubliés.

 


 

A Guéret, les mystères de la momie révélés grâce à un scanner. Elle venait d'une classe élevée, que des techniques très pointues et très soignées avaient été employées pour la traiter, et que toute une attention coûteuse – présentation, habillage – lui avait été accordée.

 

Chine. Découverte d’un site sacrificiel impérial vieux de plus de 1500 ans. Selon des experts, il s’agit d’un site où des empereurs de la dynastie des Wei du Nord (386-534) offraient des sacrifices au ciel.

 

Ecosse. De nouvelles découvertes lèvent le voile sur le mystère de la "tombe aux six crânes". Des scientifiques ont mené des analyses ADN sur une tombe découverte en Ecosse et contenant deux squelettes accompagnés de quatre crânes. Les résultats indiquent que la majorité des ossements appartiendraient à des individus de la même famille.

 

Etats-Unis. Une mystérieuse momie du 19e siècle découverte à New-York révèle ses secrets. En 2011, une mystérieuse momie du 19ème siècle était découverte dans le Queens, un quartier de la ville de New-York. Grâce à des méthodes d'imagerie, le corps de la jeune Afro-Américaine révèle enfin ses secrets aux chercheurs.

 

Divers. Une origine unique pour le chien? Le «meilleur ami de l’homme» aurait été domestiqué une seule fois et, une fois devenu chien, il n’aurait presque plus jamais intégré de gènes de loups sauvages, suggère la plus vaste étude génétique effectuée à ce jour sur les origines du chien.

 

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